L’arrière-salle du “Joyeux drille” puait le rat crevé, le vieux tabac et l’alcool bon marché. Il s’y trouvait quatre grandes tables rondes, autour desquelles les joueurs de cartes se retrouvaient. Ils y dilapidaient leur solde ou leurs économies en quelques heures d’oubli. Ils avaient la passion du jeu, dévorante, qui rongeait leur libre arbitre et leur patience.